Pourfendeurs de l’Union, les partis extrêmes veulent « réformer l’Europe de l’intérieur », en mettant des bâtons dans les roues des institutions. S’ils étaient déjà bien implantés lors de la précédente législature, avec près d’un quart des élus du Parlement, cette fois-ci eurosceptiques et europhobes comptent pour près d’un tiers.