En 2012, l’Académie des sciences tirait déjà la sonnette d’alarme : « Il y a un millefeuille de structures qui se proposent d’organiser, de gérer, de financer ou d’orienter la recherche qui laisse perplexe même le chercheur le plus ouvert. » Biologiste à l’université de Nantes, Pascale Guillon confie ne consacrer que 20 à 30 % de son temps à la recherche.