Ce n’est que l’un des 80 articles du projet de budget 2020, mais c’est l’un de ceux qui ont déclenché les plus vives polémiques. Mi-novembre, les députés ont voté la possibilité pour les agents du fisc d’« aspirer », à l’aide d’un algorithme, les données que les internautes publient sur Facebook, Twitter, Instagram ou Leboncoin, à des fins de contrôle fiscal.