Une dizaine de Françaises qui avaient rejoint l’organisation Etat islamique (EI), détenues dans les camps de Roj I et II dans le Nord-Est syrien, ont entamé, dimanche 21 février, une grève de la faim « pour protester contre le refus obstiné des autorités françaises d’organiser leur rapatriement et celui de leurs enfants », ont indiqué Mes Marie Dosé et Nicolas Rivière.