Nicole Ferroni, 34 ans.
Le 14 décembre dernier, Nicole Ferroni peine à finir sa chronique sur la fin du siège d’Alep. Avec des sanglots dans la voix, elle conclut en citant son père : « Le cannibalisme avant s’était répandu et maintenant les gens disent :
les hommes se mangeaient et on appelait ça du cannibalisme.