Des rues désertées avec, comme seuls survivants d’une circulation urbaine habituellement dense, quelques bus, taxis ou VTC roulant en toute fluidité. Le tableau, inimaginable il y a quelques mois, a pourtant été celui dont les Parisiens ont été les témoins en plein confinement, de la mi-mars à la mi-mai, l’année dernière.