Elle jette un œil, ne voit aucun gardien venir et sort enfin du cadre. Malgré son arthrose, la Joconde se rétablit avec souplesse et s’esquive sur la pointe de ses ballerines empoussiérées. Elle glisse un timide au revoir à ses voisins, à ces attablés des Noces de Cana peints par Véronèse qui poursuivent leur interminable banquet quand elle s’est enfin décidée à prendre la poudre d’escampette.