Le Parlement iranien est furieux. Lundi matin, le Majles dominé par les conservateurs a largement adopté un texte contre le président Hassan Rohani, accompagné de mesures vexatoires comme l’interdiction pour des responsables de son gouvernement de pénétrer dans le Parlement et le report sine die de la discussion sur le budget annuel (l’année iranienne commence le 21 mars).