Un déficit public de 1 % en 2018, puis l’équilibre budgétaire en 2020 : de tels objectifs étaient impensables pour le Portugal il y a un an et demi, quand la gauche plurielle est arrivée au pouvoir. Ce pari audacieux est pourtant au cœur du programme de stabilité adopté le 13 avril par Lisbonne, qui s’apprête à le soumettre à Bruxelles.