Pourquoi vous êtes-vous intéressé aux survivants de la dernière épidémie d'Ebola ? Parce que jusqu'à l'épidémie de 2013-2016 qui a sévi en Guinée, au Sierra Leone et au Liberia, nous avions peu d'informations sur le devenir des survivants. En effet, Ebola a un taux de mortalité très important : jusqu'à plus de 70 % des personnes infectées.