Toute élection présidentielle, aux Etats-Unis, est un événement de portée mondiale. Mais c’est sans doute plus vrai que jamais. Pas parce que les Etats-Unis sont la première puissance mondiale (ils le sont depuis plus d’un siècle), mais parce que le Trump de 2024, encore plus extrémiste et menteur qu’en 2016, serait, s’il était réélu, le président de tous les dangers.