La dissolution du mouvement écolo Les Soulèvements de la Terre, demandée par le ministre de l’Intérieur en juin, en raison de la violence de ses actions, a été annulée par le Conseil d’Etat. Selon lui, la dissolution « ne constitue pas une mesure proportionnée à la gravité des troubles susceptibles d’être portés à l’ordre public » et « porte atteinte au droit d’association ».