«
J’ai été agréablement surprise de constater que, pour une fois dans une filière scientifique, il n’y a pas que des garçons. » Il faut dire que la classe dans laquelle se trouve Sanaé, étudiante en PTSI à Jean-Baptiste-Say, fait figure d’exception à l’échelle nationale : 42 % de filles contre 12 % au niveau national.