Les traits sont marqués, mais le ton est celui de la défiance. Dans un discours retransmis à la télévision, lundi 30 septembre à midi, la détermination qu’affiche le cheikh Naïm Qassem, le numéro deux du Hezbollah, et les menaces qu’il adresse à Israël sont les mêmes que celles agitées par Hassan Nasrallah lors de sa dernière intervention télévisée, le 19 septembre, avant sa mort le 27 septembre.