L’affaire a été jugée suffisamment grave pour obliger Emmanuel Macron à mêler les dossiers nationaux et internationaux. Mercredi 31 mai, depuis Bratislava, où il assistait au forum Globsec sur la sécurité en Europe de l’Est et du Nord, le chef de l’Etat a tenu à préciser que sa première ministre, Elisabeth Borne, n’était en rien disqualifiée.