Emmanuel Macron n’a pas pris son risque. Pressé depuis le début de la semaine par sa majorité et sa première ministre de ne pas utiliser cet outil politiquement explosif, mis en garde par le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, qui y voyait un « vice démocratique », le président de la République a pourtant décidé d’adopter sa réforme des retraites en utilisant le 49.