Pris d’une curiosité morbide, on a beau humer l’air quand on lui serre la main, mais Stéphanie Sounac ne sent pas la mort. Mieux : elle respire la vie, surtout quand cette quadragénaire, col en dentelle blanche sur haut noir, lèvres rubis et lunettes fantaisie sur le nez, parle de son métier : thanatopractrice.