« Plouf, plouf, plouf. C’est toi qui seras le chat. Mais si le roi ne le veut pas, ce sera toi. » La quête sans fin d’Emmanuel Macron pour trouver un Premier ministre finit par ressembler à cette comptine pour enfants. En moins léger, évidemment. Plus de cinquante jours après le second tour des élections législatives perdues par son camp, l’affaire prend au contraire un tour tragi-grotesque.