Une coulée de lave et d’encre dans la tronche. Dans « La chair est triste hélas », Ovidie, 42 ans, confesse dans un style incantatoire, brûlant, ses quatre ans de « grève du sexe », « toutes ces heures accumulées de baise minable » et sa décision de se mettre en mode pause pour une durée indéterminée, toujours en cours.