vvvvv Aucun critique littéraire ne l’a démasqué à l’époque. Quelques mois après son suicide en 1980, dans son testament, Romain Gary révèle le subterfuge : Émile Ajar, c’est lui. Grâce à ce pseudonyme, il demeure le seul écrivain à avoir reçu deux fois le prestigieux prix Goncourt.