Il était une fois un ami d’enfance porteur de courriers et de mystérieuses missions. Il était aussi un certain Julien Lepetit, un homme qui « sait qu’il ne faut pas plus de 250 litres de gazole dans un hélico, sinon ça va être la merde ». Il y a enfin, comme un personnage secondaire, tapi dans l’ombre de Rédoine Faïd, le « gars sûr », toujours au volant d’une Mégane volée.