La mélodie du bonheur s’accompagne donc parfois de fausses notes, de dissonances donnant soudain un écho moins « bankable » à un chant de partisans aux pouvoirs pourtant fédérateurs. Comme ils en ont pris la délicieuse habitude, Paris et ses ultras ont, dans l’euphorie du succès, encore chanté d’une seule voix dimanche soir au Parc des Princes.