Le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, n'a pu profiter du soutien indéfectible habituel de l'Allemagne lors de sa visite à Berlin jeudi. 2.500 policiers étaient mobilisés pour éviter des débordements de manifestants. Le chancelier allemand, Olaf Scholz, est lui-même sorti de sa réserve en exprimant sa « grande inquiétude » à l'égard de la crise actuelle.