Pendant cinq mois, les 11.500 scénaristes représentés dans la WGA (Writers Guild of America) ont joué une nouvelle version du « Port de l'Angoisse ». Leur cauchemar a un nom : Netflix. Une petite annonce publiée cet été sur le site de la plateforme de streaming et rapportée par « L'Express » résume ce qui provoque leurs nuits noires.