Le gouvernement devrait s'attaquer corps et âme à la réduction des dépenses publiques. Mais Michel Barnier a préféré la commodité des hausses d'impôts. Le gouvernement de Michel Barnier est dans une seringue. Pris en tenaille entre les agences de notation, la procédure pour déficit excessif de Bruxelles et le calendrier du vote du budget, déjà compliqué.