Voici un journal qui ne ressemble à rien qu’on ait déjà lu. Peut-être parce que ce n’est pas un journal ? Franz Bartelt note le 3 novembre 2000 : «Ces cahiers ne constituent pas un journal, mais un roman.» Et encore, poursuit-il : «Ce n’est pas le roman de ma vie, mais le roman de mon écriture - c’est-à-dire le roman d’une tentative, d’une épreuve prorogée quotidiennement.