C’est l’histoire d’un chien que l’on jugerait comme un homme. Car les bêtes, soutient la défense, ne sont pas des choses. Pour avoir mordu des femmes, le voilà accusé de misogynie, appelé à la barre, passible d’une condamnation à mort. L’histoire, a priori fantasque, est celle du premier film de Lætitia Dosch.