Le régime algérien attendait la première occasion pour faire payer à la France sa volte-face sur le sujet sensible du Sahara-Occidental et son rapprochement tonitruant avec l’ennemi marocain. Il l’a trouvée en la personne d’un écrivain franco-algérien de 75 ans, qu’il n’a pas hésité à jeter derrière les barreaux pour «atteintes à la sûreté de l’Etat» à peine le pied posé à Alger.