Du drame humaniste à la comédie désenchantée, trois longs métrages du cinéaste américain, artisan intègre mais passé sous les radars cinéphiles, ressortent en salles.
Phonétiquement, le patronyme sonne familier. Toutefois, à une lettre près, quasiment personne - y compris dans les rangs assidus de la cinéphilie -, ne se souvenait de ce Roemer, prénommé Michael.