Planète

A Niamey, «on se réjouit, notre lutte est en train de payer»

Dans la capitale nigérienne, le retrait des troupes françaises est perçu comme une victoire après presque un mois de manifestations, et «une nouvelle étape vers la souveraineté» du pays.

LibérationAgnès Faivre Correspondante à Niamey
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Dimanche, 19 h 50. Maikoul Zodi est en route pour l’Escadrille, rond-point qui dessert le complexe militaire nigérien abritant la base aérienne projetée des forces françaises à Niamey. Depuis début septembre, ce lieu a charrié des dizaines de milliers de manifestants en faveur du retrait des soldats français installés en 2013.
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