Idées

Ludivine Bantigny et Boris Gobille «Pour qu’il y ait révolution, il faut un peuple conscient de sa capacité d’agir»

Dans une somme, un collectif d’intellectuels explore les soulèvements populaires à travers le monde. S’ils prennent des formes disparates au cours des siècles, les processus révolutionnaires naissent d’injustices et de déséquilibres sociaux qui subsistent dans les sociétés contemporaines, en Afrique ou en Asie notamment, mais aussi en Europe.

LibérationRecueilli par Copélia Mainardi et Thibaut Sardier
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Peut-on encore faire confiance à un mot qui sert à désigner un smartphone - «Ceci est une révolution», disait Steve Jobs de l’iPhone - ou qui fut en 2016 le titre d’un livre d’Emmanuel Macron ? «Le mot "révolution" est celui sans doute qui a le plus souffert de grignotements incessants, d’un méthodique travail de sape», écrit l’historienne Ludivine Bantigny.
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