L’Assemblée des Etats parties au statut de Rome s’ouvre lundi à La Haye, au moment où la Cour pénale internationale et son procureur doivent faire face aux coups de boutoir des Etats-Unis, d’Israël ainsi qu’aux réserves de la France après les mandats d’arrêt contre Nétanyahou et son ex-ministre de la Défense.
Le tir est nourri et le constat est unanime. Jamais les déclarations, les menaces et les attaques n’ont été aussi nombreuses contre la Cour pénale internationale depuis son entrée en fonction en 2002.