«Quel gâchis ! Après la tournée qui a suivi mon deuxième album, en 2018-2019, il restait des cartons entiers de merchandising : une centaine de tee-shirts, une cinquantaine de sweats.» Fakear, comme beaucoup d’autres artistes d’aujourd’hui, réfléchit de plus en plus à l’impact que son activité de musicien laisse sur l’environnement.