Depuis la fenêtre de son logement dans le centre de Valence, Angel Luis, 46 ans, a vu le lit de la rivière Túria, «asséché depuis des années et transformé en coulée verte pour promeneurs», charrier une quantité d’eau inimaginable. Nuria, une autre habitante de la ville, 32 ans, raconte avoir aperçu mardi soir «des SDF errer, chassés de leur abri par la pluie.