Idées

Tous les morts ne sont pas à pleurer

Est-ce honteux de ressentir un peu de joie à la mort d’un homme comme le fondateur du Front national, s’interroge l’écrivain Nadir Dendoune. Respecter Jean-Marie Le Pen, c’est nier la souffrance de ses victimes.

LibérationPar Nadir Dendoune,Journaliste, écrivain et réalisateur australo-franco-algérien
Restez informés en suivant LireLactu sur
Pourquoi devrait-on toujours se taire ou afficher de la tristesse quand quelqu’un meurt, même s’il a semé la haine toute sa vie ? Est-ce vraiment honteux de ressentir un peu de joie à la mort d’un homme comme Jean-Marie Le Pen ? Le 21 avril 2002, j’étais en Allemagne, à la fin d’un périple à vélo pour sensibiliser la planète au sida.
Accès requis pour lire la suite de cet article
Restez informés en suivant LireLactu sur