«Vive la liberté, bordel ! Ils vont voir ce qu’ils vont voir !» scande le camp extasié de Javier Milei. A l’autre bout de Buenos Aires, Sergio Massa, l’actuel ministre de l’Economie, vient de reconnaître sa défaite, avant même les premiers résultats officiels et au milieu d’un océan de militants hébétés, aux visages décomposés.