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«Quand on raconte une histoire de poissons, il faut ajouter des couleurs»

«Libération» s’est entretenu avec quatre membres de la troupe islandaise Vesturport qui reviennent sur la genèse de «Blackport».

LibérationRecueilli par M.Cha.
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Dans le grand turnover d’une industrie de la série qui s’embarrasse à peine de présenter des nouveautés appelées à être aussitôt remplacées par de plus fraîches encore, l’islandaise Blackport faisait figure d’exception. Deux ans qu’on l’attendait, depuis la découverte des premiers épisodes au festival Séries Mania, d’où elle était logiquement repartie avec le grand prix.
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