Malgré. Au gré du mal. C’est ce dernier qui décide et, s’il vous plaît, ne pas invoquer ici le manichéen, le binaire, non, rester au corps du mal qui a mal. Des os et des mots qui le disent. Où ça fait mal est l’endroit où l’auteur écrit. Colin Lemoine prouve dans ce second roman que toute souffrance n’est pas bonne à dire mais, 170 pages plus loin,si belle.