Les organoïdes cérébraux sont loin d’avoir la taille, la structure et la complexité de vrais cerveaux. Dans ces conditions, « je vois mal comment nous pourrions obtenir une conscience, dont nous ne comprenons d’ailleurs pas encore complètement les caractéristiques biologiques », pointe Lena Smirnova, première auteure de l’article sur l’intelligence organoïde (IO) dans Frontiers in Science.