Plonger l’être humain à volonté dans un état de métabolisme ralenti, voilà qui évoque certaines œuvres de science-fiction dans lesquelles les héros émergent de caissons vitrés au terme de plusieurs années de voyage spatial. Si ces expériences n’ont pas été réalisées sur l’humain, ce procédé prend un peu plus corps grâce à deux études publiées en 2020 chez la souris et le rat.