Barbara Huber, archéologue à l’Institut Max-Planck de géoanthropologie (Allemagne), dont l’équipe est parvenue à reconstituer « l’odeur de l’éternité » grâce à de nouvelles techniques biomoléculaires. Ce mélange olfactif (cire d’abeille, huile végétale, graisses, bitume, résine de mélèze, pistachier…) a été utilisé pour la momification d’une jeune femme en Égypte il y a 3500 ans.