Le déplacement d’Olaf Scholz en Chine, du dimanche 14 avril au mardi 16 avril, ressemblait beaucoup aux visites d’Etat qui caractérisaient la période de la grande coopération économique. Un signe que le chancelier allemand ne la considère pas terminée, dans un contexte où l’Europe est désormais inquiète tant de l’ampleur des exportations chinoises que de la proximité entre Pékin et Moscou.