Gabriel Attal savoure, grisé par la standing ovation dont il fait l’objet à 5 000 kilomètres de Matignon et de ses crises. Du Québec, à quelques centimètres du « trône » – mobilier composant l’estrade et le fauteuil de la présidence de l’Assemblée nationale de la Belle Province –, le premier ministre vient de clore, ce jeudi 11 avril, son discours devant les députés locaux.