La description du cœur par Léonard dérive au départ de Claude Galien, qui pensait que le sang veineux venait du foie. Puis était envoyé dans le ventricule droit par l’effet de pompe du muscle cardiaque, puis passait dans le ventricule gauche par des trous de la paroi ventriculaire et se transformait en « esprits vitaux » en se mélangeant à l’air venu des poumons.