A la dérive depuis le rachat de Monsanto en 2018, le géant de la chimie allemand est en pleine restructuration. Il s’appuie désormais sur sa branche pharmaceutique pour ne pas couler. La descente aux enfers de Bayer n’en finit plus. Plombé par les ventes en berne de sa division d’agrochimie, le fleuron centenaire allemand a encaissé un deuxième trimestre d’affilée dans le rouge.