La défaite est un art. Racontées par nos consœurs Catherine Mangin et Elizabeth Martichoux (L’Art de perdre en politique, éd. Stock), les chutes sont autant d’épopées singulières qui se terminent avec ou sans casse et… classe. Valéry Giscard d’Estaing et Lionel Jospin furent de mauvais perdants, et Nicolas Sarkozy n’a jamais prononcé de meilleur discours qu’au soir de la défaite.