Candidat à un Grand Prix de Formule 1 en 2026, le pays investit massivement dans le basket, le football, le cyclisme.
Si les journalistes africains sont les premiers à subir les foudres des autorités, les dessinateurs de presse du continent jouent de l’ambiguïté de la caricature pour conserver leur puissance satirique.
Le moment était historique. Dans une envolée lyrique, Charles Michel parlait alors d’« évolution copernicienne ».