Chaque jour, ils sont des milliers à traverser la frontière pour travailler à Dajabón. Mais cette main-d’œuvre bon marché subit le durcissement de la politique migratoire dominicaine. —The Globe and Mail (Toronto) Tous les matins à 8 heures, les grilles du pont qui enjambe la rivière Massacre s’ouvrent, et des milliers de personnes s’élancent pour passer de l’autre côté.