Il y a encore quelques jours, alors que la coalition insurgée menée par la faction islamiste radicale Hayat Tahrir Al-Cham (HTC, Organisation de libération du Levant) s’emparait d’Alep, la deuxième ville du pays, la bourgeoisie de Damas « continuait à vivre dans une bulle, comme si le navire n’était pas en train de sombrer », rapporte un Syrien qui fait de fréquents séjours dans la capitale.