Une salve de félicitations internationales a suivi l’élection par le Parlement libanais de Joseph Aoun à la présidence de la République, jeudi 9 janvier. Celui qui était chef de l’armée prend la tête d’un pays en convalescence après la récente guerre entre Israël et le Hezbollah, appauvri par plusieurs années de crise financière, et toujours et encore profondément divisé politiquement.